Depuis le retour de mon voyage en Asie, mon coeur ne cesse de saigner. J’ai beau tout essayer, de soigner la plaie mais rien n’y fait. Je peine à cicatriser. Et je tente cette fois ci, de me poser, devant mon écran et de me concentrer sur moi même. C’est avec spontanéité, que je décide d’exprimer ouvertement mon chagrin, à travers cet article humeur. J‘écris pour exister et pour ne point oublier. Comme un besoin d’être anesthésiée. Ce récit me m’emmènera peut être dans la bonne direction. Alors voilà, je me lance.
Le voyage en Asie, que j’ai vécu, était extraordinaire. J’ai vécu de beaux moments avec mon fils mais aussi, avec toutes les personnes que j’ai rencontré. À aucun moment, je n’aurais pensé faire d’aussi belles rencontres et créer des liens d’amitié et affectifs. J’ai eu l’occasion, en tant que mère célibataire, de vivre quelques belles histoires (même si c’était court), que je chérirai toujours.
Cependant, j’en ai vécu une, un peu plus spéciale que les autres. C’était la rencontre qui a changé le cours de mon périple en Asie. Vous pouvez considérer cette relation, comme un amour de vacances, mais c’était un peu plus que ça.
Une rencontre qui a tout changé
La relation que j’ai eu avec cette personne, était d’abord amicale, rien ne présageait d’une quelconque attirance entre nous. Tout ce que je souhaitais, c’était faire de belles rencontres et partager de bons moments avec lui. De plus, j’ai eu l’occasion de me lier d’amitié avec ses proches dont j’ai été super contente de rencontrer.
Loin de nos différences, on était tous là pour la même raison : le voyage. C’était beau. On a vécu de beaux moments comme partager un apéro de Noël (d’ailleurs je ne sais pas comment ils ont trouvé du pâté à Phnom Penh !). C’était agréable de vivre cet événement festif, avec des personnes qui m’étaient hier inconnus. Ensuite, j’ai eu comme une envie de les inviter à partager cette fois ci un repas à la maison, chez ma grand-mère. De vivre une expérience locale qui ferait plaisir à tout le monde ainsi qu’à ma famille. Parce que, c’est toujours un plaisir pour nous de recevoir, et d’échanger sans vraiment pouvoir communiquer avec nos langages respectifs. Bref, c’était cool.
Puis, le temps étaient pour eux de changer de destinations et de nous quitter. C’était une belle rencontre.
« Les choses simples de la vie sont aussi des moments qui peuvent être inoubliables. »
Depuis son départ de Phnom Penh, on échangeait chaque jour, et chaque échange me persuadait de continuer mon voyage. Et, j’étais de plus en plus attiré par lui. J’avais envie de parcourir l’Asie avec mon fils et aussi une envie de vivre des moments avec lui ainsi qu’avec son groupe d’amis. J’étais effrayée mais excitée à l’idée d’explorer la Thaïlande, le Laos et le Vietnam… Mais, il m’avait donnée envie et je ne pouvais renoncer plus longtemps à cette expédition. Et que si jamais, lui et moi, ça ne collerait pas, je ferai mon propre chemin. J’ai donc prolongé mon séjour en Asie de deux mois et nous voici parti pour découvrir l’Asie du sud-est.
Après l’avoir rejoint, on a finalement vécu quelques moments forts ensemble. En partant de Chiang Mai, du Laos, du Vietnam et enfin de la Thaïlande. On a découvert le sanctuaire des éléphants pour l’anniversaire de Julian, traversé le Mékong en slow-boat (c’était magique) pour rejoindre Luang Prabang, et vécu des moments paisibles à flemmarder dans de nombreuses villes de l’Asie, que je ne pourrais toutes les citer. C’était un sentiment de liberté, de joie, de soulagement, de réconfort. C’était un bonheur partagé.
Cependant, au cours, de ce périple, les choses n’étaient pas toujours facile pour établir une vraie relation, car oui j’ai un enfant. Avoir des moments pour nous étaient difficiles.
Un voyage dans le temps
Pour cette partie, je vais directement m’adresser à lui :
« Voyager avec un enfant. Ce n’était pas facile, surtout quand celui ci, n’est pas le tien. Tout long de ce voyage, tu as su m’apporter de l’affection et prendre soin de moi. Et inconsciemment, tu en apportais aussi beaucoup à mon fils Julian.Tu étais là, pour veiller sur nous.
Sauf, que j’en voulais toujours plus et que je voulais aussi me retrouver seule avec toi. Je devenais exigeante. J’avais envie de plus d’attention de ta part parce que je trouvais que j’en avais pas assez.
Je culpabilisais, sur le fait, de te faire subir la présence de mon fils. Je faisais alors tout mon possible, pour faire les choses en fonction de toi, afin de rendre les choses plus simples. Je me débrouillais toujours pour trouver une babysitteuse, afin qu’on puisse profiter de nous. Mais ça nous demander de l’organisation et donc ce n’était pas spontané. Alors, parfois tu n’étais pas d’humeur et tu m’apportais pas l’attention que j’attendais de toi. Sachant, que l’on pouvait enfin se focaliser sur nous, et que tes actions me faisaient douter de nous. Je t’en voulais. Je te voyais quelques fois comme quelqu’un d’égoïste. Qui ne pensait qu’à lui et qui ne prenait pas en compte mes envies. Je me faisais une série de reproches, qui me faisait perdre la tête. J’avais l’impression que tu ne voyais pas les efforts que je faisais pour être avec toi. J’avais du mal à te cerner. C‘était compliqué de se coordonner. Quand on pouvait être ensemble, tu avais, à certains moments, ce besoin de te retrouver avec toi même ou d’être avec ton entourage. Je ne pouvais pas t’en vouloir, je comprenais mais je me sentais aussi très seule.
C’était comme si le fait de voyager avec mon fils, était un poids si lourd, que le moment venu, d’être ensemble en devenait un autre. Que tu avais besoin de souffler. Et c’était donc dur pour nous de se retrouver, malgré toutes les solutions que l’on pouvait trouver. J’étais frustrée de ne pas pouvoir me rendre totalement disponible pour toi malgré tout les efforts que j’ai pu faire.
Mais tu as été quelqu’un d’incroyable. Tu finissais toujours par être doux avec moi quand je me sentais affaiblie. J’oubliais toujours que j’étais dramatique. Je me disais que j’avais de la chance de t’avoir malgré le fait que j’ai un enfant.
En prenant du recul ces derniers mois et en visionnant les vidéos, je voyais une personne bienveillante, souciante et généreuse. Tu t’es en quelque sorte impliqué dans notre relation en t’occupant de mon fils et moi. Tu as été bien plus qu’adorable. Sans vraiment, avoir l’intention de vivre cette expérience, en faisant ce voyage. Mais tu l’as fais.
Je comprends aujourd’hui, que ça a dû être intense pour toi, surtout pour quelqu’un d’aussi jeune que toi. Et que vivre au quotidien avec un enfant devenait assez pesant. Malgré ça, tu nous supportais et tu avais toujours envie d’être avec moi.
Je ne peux qu’être reconnaissante envers toi. Et, je pense pas que j’aurai pas pu tomber mieux que toi. Surtout, je pense que je n’aurai pas fais mieux si nos rôles étaient inversés.
Mes meilleurs souvenirs que je garde de nous, c’était toutes les fois où l’on se retrouvait dans une nouvel endroit, après s’être séparé quelques jours. C’était juste magique. On était content et heureux parce que l’on se manquait. Et aussi les messages que l’on s’envoyait, quand on était loin de l’autre, qui bâtissaient ce manque entre nous. C’était beau, comme un rêve mais bien réel.
Merci d’avoir pris soin de nous et surtout de mon fils. Jamais, je ne t’oublierai. «
Une lueur d’espoir
Il a été merveilleux avec nous. Ce n’était pas toujours parfait entre nous, mais on a vécu de beaux moments ensemble.
Mais il y a une fin à tout et c’était le moment pour lui de repartir en France. On avait tout les deux envie de continuer notre relation.( Même si, j’avais cette intuition que l’on était pas fait pour être ensemble. Et qu’il ne tiendrait pas à cette relation à cause de notre différence de maturité, de parcours et surtout à cause de Julian.)
« S’engager avec lui, c’était prendre le risque de le perdre. »
Il m’a partagé ses envies de continuer cette relation en France et je l’ai écouté. Une partie de moi était persuadée qu’il me laisserait tomber après être rentré en France mais une autre partie avait envie d’y croire. Parce que je tenais beaucoup à lui et que j’ai envie de vivre des moments avec lui sans qu’il y ait mon fils.
Quand on s’est quitté, on s’est dit au revoir en pensant qu’on allait se revoir.
Le retour en France : la rupture
De mon retour en France, les choses avaient changé entre lui et moi. Il devenait de plus en plus distant et j’avais aucun moyen de m’entretenir avec lui, sans qu’il ne soit consentant. Parce que, en plus de ça, on ne vit pas dans la même ville. Alors difficile d’aboutir à une rencontre, s’il ne se rend pas disponible. Les jours passent et plus aucun effort de sa part.
Cependant, j’attendais continuellement nos retrouvailles, comme toutes les fois où l’on s’est retrouvé en Asie. J’espérais depuis le jour où l’on s’est quitté. Je continuais sans cesse (comme une débile), à vouloir entretenir notre relation jusqu’à ce qu’il puisse se rendre libre. Et vous vous en doutez bien, ce jour là n’est là n’est jamais arrivé.
J’ai attendu depuis tout ce temps…pour rien. Il n’avait pas les couilles de me dire honnêtement qu’il ne voulait plus de moi et je devais les porter moi-même pour mettre une fin à cette relation. C’était un message de rupture banal qui n’était digne de la relation que l’on a vécu.
Mais, que pouvais-je faire de plus ? Rien et accepter que les choses se terminent ainsi. Tout ce qu’il me reste à faire de mon côté, était de passer à autre chose.
Fin de l’histoire.
Une aventure sans fin
Je continue ma vie de mon côté et je cherche à tout prix à m’occuper du mieux que je peux mon esprit. Je me prive de repenser aux voyages en Asie qui éveillerait certainement les souvenirs que j’ai de lui.
Mais je ne peux pas. Pourquoi ? Parce que le but de SHEWANDERLOST est de vous partager mes aventures ! Alors j’essaie de passer outre et de monter mes vidéos de Bali mais je bloque car j’ai perdu mes rush qui était sur la carte SD volé au Vietnam. Et je me rappelle donc de cette horrible soirée, passé avec les gars, où ma pote s’est fait volé son sac dans les rues de Nha Trang. Je sombre encore une fois et je fais une pause encore une fois sur ce projet : de monter mes vidéos de voyages.
Les semaines passent.. Je retrouve à Paris, des personnes avec qui j’ai partagé de bons moments en Asie dont Logan et Gaspard. Et, le fait de les retrouver, m’a fait un bien fou et c’était agréable de remémorer ces souvenirs qu’on a passé ensemble. J’ai même gardé un lien avec Julian, l’américain, que j’ai rencontré à Phnom Penh et d’ailleurs, j’ai un voyage de prévu à Denver (j’ai hâte).
Bref, je commence à me poser des questions. Je me demande, comment est-ce possible, de ne plus avoir aucun lien avec cette personne dont j’ai été si proche ? La personne avec qui j’ai vécu toutes ces aventures, m’a complètement barrer de sa vie ? Est-ce que j’existe encore pour lui ? On s’est même pas dit adieu !
Le coeur saigne et souffrance physique
Les souvenirs ressurgissent avec monsieur et plus rien ne va. Mon coeur commence peu à peu à saigner et ne cesse de couler. Je ressens, ce besoin oppressant, de répondre à mon coeur, qui me fait si mal. Un besoin de combler ce coeur qui est en train de se vider continuellement.
Je me remets en question et je commence à perdre confiance en moi. J’ai l’impression de ne plus exister à ses yeux et ne plus exister à ses yeux. C’était comme, être morte. Comme si je n’étais que poussière.
Et le fait de me dévaloriser, de me sentir minable, me rend vulnérable que ça en devenait trop Penser négativement me fait perdre du temps et j’en étais consciente.
Mais mon coeur me chagrine chaque fois que je me réveille ou quand j’essaie de fermer les yeux. Le seul moment, où je suis tranquille, c’est quand je rêve.
La façon dont on s’est quitté me chagrine si fort que j’en perds mes moyens. Que même si j’avance avec d’autres personnes, je n’arrive pas à partager de bons moments avec eux, parce que j’ai toujours le coeur qui m’oppresse.
Donc j’essaie d’atténuer ce chagrin en me posant la bonne question. Pourquoi ai-je le coeur brisé?
La rupture ? Non, je ne lui en veux pas de ne pas vouloir être avec moi. Je chagrine car je n’ai pas pu lui dire au revoir, comme je l’aurai voulu. Cette personne avec qui j’ai vécu ces moments à l’autre bout du monde, n’existe plus. . Son indifférence me l’a bien prouvé.
Désir de combler ce vide
« J’aurai voulu te quitter sur une bonne note, là où l’on s’est quitté. En gardant tous les deux, de bons souvenirs de ce voyage. Que si l’on se retrouverait un jour, si l’occasion se présentait, on serait content de se revoir, de repartager les souvenirs passés et de prendre de nos nouvelles. Que l’on pourrait toujours garder un lien, peu importe que l’on soit ensemble ou pas. J’aurai voulu te dire au revoir en sachant que c’était la dernière fois qu’on allait se voir. Te laisser un dernier baiser, pour mettre un point final à notre histoire. J’aurai voulu te dire que j’ai été contente de t’avoir rencontré, et te remercier d’avoir pris soin de nous, de mon fils. Que tu resteras, à jamais dans mon coeur. En espérant que tu accompliras tes objectifs de la vie en te souhaitant d’être heureux »
Mais les choses ne sont pas passées ainsi. Pas d’adieu, pas de fin et certainement pas de retrouvailles. Il n’y a pas eu une belle fin. Il m’a laissée pourrir dans l’attente.
Libère moi de ce chagrin
J’ai tenté de lui demander, de lui dire que j’avais besoin que l’on se retrouve une dernière fois pour mettre fin à cette histoire. Pour que l’on puisse se dire adieu convenablement.
Indifférent à mon égard, il ne peut répondre à mes attentes.
« Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n’ont jamais été dits ou qui n’ont jamais été expliqué »
J’aurai voulu qu’il me libère de ce chagrin qui me ronge chaque jour. Pour que je puisse aller de l’avant et mettre un point final à cette histoire. S’il y avait une once partie de lui qui avait de l’intérêt pour moi, il aurait accepté de me dire au revoir dignement.
Mais que voulez-vous, on ne peut forcer quelqu’un, surtout si la personne ne ressent plus rien pour vous. Comme si, la personne que j’ai connu, n’existait plus. Qu’il ne fera plus partie de ma vie. Que je ne partagerai plus aucun lien avec cet homme. Qu’il ne fait plus parti de ce monde.
Ne pas pouvoir lui dire au revoir, c’est comme ne pas pouvoir dire adieu à une personne qui est morte.
Ça me fend le coeur la façon dont on s’est quitté sans que je puisse clôturer cette histoire. Mais, il en a décidé autrement et je ne peux rien y faire. Mis à part, aller de l’avant et rester positive. En gardant, seulement les bons souvenirs que j’ai de lui.
Souris même si ton coeur saigne
Malgré cette mauvaise passe, je tente de garder le moral. Je garde seulement le positif. Je me dis que sans lui, je n’aurai vécu cette belle expérience et que j’étais heureuse d’avoir partagé ces moments avec lui. Et que mon coeur je saigne, car je n’ai pas pu lui dire adieu à cette personne, qui comptait et qui comptera toujours pour moi. Je ne lui donne pas de l’importance mais seulement à celui avec qui j’ai vécu ces aventures.
Maintenant, il faut que je tourne la page car de toute façon, c’est tout ce qu’il reste à faire. La vie continue. La dépression, c’est nul et ça me gâche la vie. Je prends le temps qu’il faut pour vivre ce chagrin. Je continue de creuser mon trou pour bientôt enterrer mon chagrin.
Pour résumer , je vous ai dévoilé à coeur ouvert mon chagrin d’amour qui me bouffe depuis mon retour en France. Écrire m’a fait un bien fou et m’a permise de me défouler et de revivre. Je n’ai pas envie d’oublier l’histoire que j’ai vécu avec lui mais de ne pas pouvoir lui dire au revoir m’a brisée le coeur. Et je ne peux rien changer à ça, mis à part faire mon deuil et prendre le temps qu’il faut pour cicatriser.
Un chagrin fait mal émotionnellement mais aussi physiquement. Je ne sais pas si j’ai été claire ou si je me fais passée pour une folle. Mais sincèrement, j’en ai eu mal et que parfois je restais au lit sans pouvoir bouger. Ça ne dure pas longtemps mais le vivre chaque jour en devient pesant. Le plus difficile est de le surmonter seul, alors il faut savoir être fort et relativiser.
Certains ont du mal à le comprendre alors j’ai posé mes mots à travers cet article.
Merci d’avoir lu et écouté si vous êtes arrivé jusque là. Ce n’est pas évident pour moi de me dévoiler mais je l’ai fais avec sincérité. J’avais envie de m’exprimer en sachant que je ne suis peut être pas la seule à vivre cette expérience ou à avoir cette vision de la vie.
J’ai besoin de sourire à la vie et c’est bon pour la santé !
4 Comments
Ta façon de poser les mots est sublime. Il faut parfois laisser le temps aux gens de trouver , avec du recul, les mots justes, le bon moment pour formuler une explication, une excuse ou un au revoir.
Continue d’avancer, les ruptures c’est bête mais on en vit plusieurs dans une vie, on pense toujours qu’on ne s’en remettra pas mais on finit toujours par s’en relever.
Courage,
Franchement tu es une femme forte, te livrer comme tu l’as fais nécessite beaucoup de courage. Je te souhaite du fond du cœur le meilleur a toi et à ton fils. Je suis persuadé que rien arrive au hasard dans la vie, tu en resortiras plus forte et tu rencontreras quelqu’un qui sauras voir à quel point tu es une femme extraordin1ire♥️
Ton texte m’a beaucoup touché. Il est profond, si juste. Ton histoire fait écho à une histoire d’amour que j’ai vécue il y a quelques années et dont j’ai eu beaucoup de mal à m’en remettre. Je ressens ta peine et je la comprends. C’est si difficile d’être sépare de la seule et unique personne avec qui on souhaite être. Il m’a fallu beaucoup de temps pour accepter cette situation mais je voulais te dire qu’au final le temps soignera cette blessure qui est en toi. Ça paraît un peu cliché dit comme cela, mais c’est vrai, le temps est un formidable remède aux maux et surtout souviens-toi que rien n’arrive au hasard. Lorsque tu as l’impression que la vie t’enlève ce que tu as de plus cher, c’est qu’elle te réserve quelque chose de meilleur. Je souhaite de tout cœur que tu sois appaisée et je suis persuadée que ce moment arrivera. Donne du temps au temps ❤️
J’ai été vraiment très touchée par ton article. Tu es impressionnante et j’espère que chaque jour deviendra une étape vers de nouvelles good vibes et d’infimes autres possibilités.
Je te conseille (vraiment) de lire « se résoudre aux adieux » de Philippe Besson qui m’a beaucoup aidé de mon côté.